• Après quelques week-ends un peu morne, j’ai décidé de me faire plaisir et de partir seul pour découvrir. Le principe était simple, j’allais à l’aéroport et je partais dans le premier avion. Pour moi, la destination a été l’Islande. Et malgré une garde robe un peu inadapté, je ne regrette rien. Entre volcans et immenses glaciers, vallées sauvages et mer gelée où l’on trouve des rorquals, les perfections naturelles rendent l'Islande comme une contrée unique au monde. L’Islande est territoire ayant une histoire riche, des gros villages dispersés dans le pays qui ne compte que trois cent mille personnes. Partir en Islande c’est accomplir un voyage insolite. A expérimenter obligatoirement est le Blue Lagoon. Mes collègues et moi avons profités 3h30 au Blue Lagoon au retour. C’est très détendant, que je m’y rendrais chaque semaine avec plaisir. Le voyage sur les montagnes enneigées au cœur du pays, est parmi les plus insolites que j'ai effectuées sur l’île. L’ambiance était rayonnant et mes compagnons dans l’ambiance. Quel bonheur d'évoluer sur les glaciers et ainsi de regarder les teintes bleus de la glace. Je préserve une souvenance fantastique de cette partie de l’Islande. L’isthme de Snæfellsnes est parmi mes destinations privilégiées en Islande en parti grâce à ses grèves de rocailleuses noires. Les pratiquants d'ésotérisme accourent jusque là en vue de jouir de l’énigmatique vitalité des lieux que dégageraient les montagnes. Dans la péninsule de Reykjavik, les chaloupes emmènent les passagers observer les cétacés. On retrouve pareillement un complexe de science et il n’est pas rare de découvrir à bord d’un bateau de recherche en compagnie de professionnels qui analysent ces orques. Je vous recommande passer par le parc de Pingvellir, lieu du plus vieux parlement du monde, où l'on peut autant admirer les plaques tectoniques. Admirez une représentation naturelle unique. Les paysages de ce monde sont le remède au climat irrationnel de la vie quotidienne. Cette terre n’abrite que 300,000 islandais et ses nationales se transforment quelques fois en piste de lave. Dès que l’on s'éloigne de Reykjavík, nous avons le sentiment d'être dans un autre monde. Une fois revenu je me suis renseigné auprès de plusieurs agences de voyages pour repartir sur place, et je peux vous recommander celui-ci pour un voyage en Islande (suivez le lien), qui offre une grande diversité d’activités, car l’Islande se vit avant tout.


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  • Je rentre de séminaire de Jordanie. Je pensais trouver un pays en quasi état de siège, notamment à cause de la situation avec la Syrie, alors qu’elle a été ma surprise en découvrant l’un des pays les plus beaux qu’il m’ait été donné de visiter. Et particulièrement Aqaba et le Wadi Rum. Pendant des années, Aqaba, l’unique station balnéaire de Jordanie, a langui dans l’ombre de ses rivales plus célèbres du golfe d’Aqaba : Eilat en Israël et Charm el-Cheikh en Égypte, dont les richesses coralliennes accueillent vacanciers et plongeurs depuis des décennies. Aujourd’hui, cet ancien port du soleil, possédant les plus beaux sites de plongée de la région, se développe et se prépare même à concurrencer des stations balnéaires plus anciennes, grâce à ses aménagements haut de gamme flambant neufs, susceptibles de séduire le plus grand nombre. Pour le moment, Aqaba témoigne encore d'une authentique culture arabe digne d'une petite ville; et les plus beaux sites du sud de la Jordanie, dont Pétra et Wadi Rum, ne sont qu’à une journée de route. Cette évolution d’Aqaba a été jugée si capitale que le roi Abdallah lui-même en a été l’instigateur. Des incitations économiques ont entraîné la création d'un ensemble d°établissements de luxe, comme l’hôtel Kempinski Aqaba avec sa plage privée et proposant 200 chambres avec vue sur la mer. Les vraies raisons de venir à Aqaba résident surtout dans les sites de plongée sous-marine. Sur près de 25 kilomètres de côtes s’étendent des récifs coralliens en Technicolor (offrant plus de 300 variétés de coraux), considérés comme les plus éblouissants et les mieux préservés de toute la mer Rouge. Aqaba est aussi une porte sur le Wadi Rum, paysage lunaire et désertique, et lu plus grande vallée de Jordanie. Mentionné dans le Coran pour sa beauté, il regorge de canyons, de sculptures rocheuses naturelles, d’arêtes granitiques et de montagnes de sable s'élevant à 800 mètres, sans compter ses villages de Bédouins, semi-nomades. Ceux qui y feront le choix de dormir à la belle étoile profiteront de la lumière et des dégradés de couleurs de l'aube et du crépuscule. Lawrence d’Arabie utilisa Wadi Rum comme camp de base durant la révolte arabe de 1917 à 1918. Il le décrit comme « vaste, résonnant et divin ». Presque cinquante ans plus tard, David Lean choisit ces lieux pour y réaliser son film Lawrence d’Arabie, qui obtint un oscar en 1962. Aujourd’hui, vous pouvez y aller à pied pour admirer le lever du our - ou faire une exploration à dos de chameau, à cheval, en Jeep ou en ballon - et être de retour à Aqaba pour déjeuner dans un café surplombant la mer. Tout ce voyage a été organisé par des gens formidables, locaux et français, et je dois dire que l’on peut les recommander. Suivez le lien pour leurs contacts et organiser votre séminaire en Jordanie.


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  • Le salon du Bourget n'est pas que l'occasion de se battre sur l'aviation civile. L'aviation militaire, n'est pas en reste. Embraer et Boeing ont annoncé aujourd'hui la signature d'un accord commercial au titre duquel l'avionneur américain sera chargé des ventes du biréacteur de transport brésilien. Cet avion devrait faire son premier vol à la fin de l'année prochaine. C'est le signe d'une première coopération entre le Brésil et les États-Unis, une façon synergique de se battre à plusieurs sur le marché du militaire mondial. Boeing et l'avionneur brésilien avait signé l'an dernier une lettre d'intention formalisant leur coopération sur ce programme. En plus du volet commercial ce contrat comprend également une assistance technique de l'Américain au Brésilien. Il est intéressant de noter que ce sont deux sociétés issues des Amériques qui sont aujourd'hui en ligne de front contre les acteurs européens afin d'essayer d'accroître la dominance globale. On retrouve ce même effet au niveau de l'aviation de la chasse avec des partenariats qui permette à la fois aux Amérique du Nord et du Sud d'intervenir à deux sur de nouveaux marchés. Au niveau des avions de chasse, le combat est encore plus rude entre Américains et Européens avec l'espoir de pouvoir vendre un maximum d'avion dans le reste du monde. Pourtant les deux acteurs historiques qui sont américains et européens font aujourd'hui face à une concurrence venus du Moyen-Orient et d’Asie et qui annonce un futur beaucoup plus tendu au niveau commercial. La différence devra se faire au niveau technologique mais pas uniquement, car le prix restera malgré tout un élément déterminant de la formation du contrat. Ainsi l'avion de chasse rafale se trouve dans une nébuleuse d'avions plus technologiques et parfois plus avantageux au niveau commercial. Cela complique davantage la position du constructeur français bien seul à lutter contre cette concurrence devenue globale. Source : vol en avion de chasse.


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  • Le challenge de la presse est évident ces jours-ci, notamment pour rester neutre. Pas facile, car les journalistes entendent bien jouer leur rôle d’arbitre et de faiseur du monde. En témoigne encore cette prise de position d’Europe 1 qui sous la houlette de son présentateur de gauche Bruce Toussaint, invite Jean Peyrelevade, ancien patron du Crédit Lyonnais, pour donner sa vérité sur l’affaire Tapie. Et a-t’on pu entendre Tapie ou ses avocats pour évoquer le point de vue contraire ? Non. Car Europe 1, Toussaint et les autres, estiment qu’ils ont l’autorité suffisante pour que la vérité soit la leur. C’est assez grave, et surtout, c’est la mort du journalisme, dans le sens noble du terme. Ce matin, c’était le ponpon. On pouvait y entendre : « Je suis heureux de voir que la justice commence à se poser des questions sérieuses sur un arbitrage dont j’ai toujours dit qu’il était premièrement illégal, et deuxièmement, à mes yeux, le résultat d’une gigantesque manipulation », a poursuivi Jean Peyrelevade, qui considère cette affaire comme « l’un des plus gros scandales de la République ». Selon l’ancien patron de la banque, Christine Lagarde, ancienne ministre de l’Economie, « a transmis des instructions venant d’au-dessus, c’est à dire de Nicolas Sarkozy .» Et d’ajouter : « Je n’ai pas de preuve, mais une somme de cette importance, une procédure arrêtée au dernier moment alors que la justice va vraisemblablement donner raison à l’Etat, pour un arbitrage désastreux pour les finances publiques, ça ne peut pas se faire. » Donc pas de preuve. Une intuition, comme Casimir a l’intuition qu’il mangera bien ce soir. C’est incroyable de constater que l’information est arrivée à un degré zéro d’impartialité. Il est plus facile d’inviter la personne qui a la même position que soit même plutôt que de prendre le risque de faire passer un autre message à l’antenne ou dans la presse. C’est terrifiant. Je vous rappelle que c’est à cause de ce phénomène que nous avons Hollande en Président de la République, parce que la presse a décidé qu’il devait l’être, contre Sarkozy. Si vous pensez encore être en démocratie, pensez-y à deux fois. Le pire, est que tous ces journaux survivent uniquement grâce à nos impôts, grâce aux subventions de l’Etat. Le challenge commercial de la presse est donc d’être objectif, pour que peut-être on les suivent, on achète leur journaux, parce qu’enfin ils arrêteront de donner leur point de vue.


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